Les articles de nos libraires

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Nos fleurs - Anaïs Barbeau-Lavalette et Mathilde Cinq-Mars

« Dans sa nouvelle collaboration avec Mathilde Cinq-Mars, Anaïs Barbeau-Lavalette reprend une prémisse déjà abordée dans Femme forêt : « Pour aimer la nature, il faut savoir nommer ce qui la compose. » Elle entreprend donc ici de nous présenter les fleurs et les plantes sauvages communes du Québec, du genre de celles qui poussent tout autour de nous sans trop qu'on les voie : du sureau au mélilot, du plantain au thé des bois. On a envie de lire chaque page à voix haute, tellement la poésie de Barbeau-Lavalette est magnifique. Le tout accompagné des illustrations de Cinq-Mars, qui capturent parfaitement l'esprit de chaque texte. Une petite perle. »

— Andréanne Pierre, Revue Les Libraires, No. 142, p. 83.

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Un lac le matin - Louis Hamelin

« Louis Hamelin nous transporte ici dans l’univers d’Henry David Thoreau, un auteur pour qui on lui sent tout de suite beaucoup d’affection. Pour ajouter une touche personnelle à cette histoire déjà bien connue, Hamelin imagine dans ce roman une amitié naissante entre Thoreau et un jeune coureur des bois canadien-français du nom d’Alex. L’écriture est également très proche de celle du célèbre auteur américain : la nature est omniprésente et le style est souvent contemplatif. Les amateurs de Walden se sentiront immédiatement chez eux!. »

— Andréanne Pierre, Revue Les Libraires, No. 141, p. 16.

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Galumph - Marie-Hélène Poitras

« Marie Hélène Poitras est de ces autrices qui n’écrivent pas assez. La nouvelle étant un genre qu’elle maîtrise tout particulièrement, c’est avec grand plaisir qu’on la voit y revenir dans Galumpf. Après avoir tissé une tapisserie de personnages qu’on lui reconnaît — un cheval fougueux, une petite fille et son trop grand chien, un accro à la porno, des amoureux qui s’écorchent dans les bas-fonds de Montréal —, elle termine ce recueil avec son texte le plus personnel en date. Quittant la fiction pour la confidence, elle nous y parle du rapport indissociable chez elle entre bêtes et écriture, car “tous les grands animaux nous rappellent notre appartenance au territoire. Ils hurlent en silence la grande beauté du monde et sa sauvagerie“. »

— Andréanne Pierre, Revue Les Libraires, No. 139, p. 14

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